Face aux changements majeurs qui se profilent, de nombreux annonceurs cherchent des alternatives aux publicités Meta. Consultez notre article sur les problèmes auxquels la plateforme de Meta est confrontée (dont la surconcurrence), ou poursuivez votre lecture pour découvrir des alternatives à la plateforme publicitaire de Meta, telles que les annonces respectueuses de la confidentialité, adaptées à l’Internet de demain.
Quelles sont les meilleures alternatives aux annonces Meta ?
Passons en revue certaines plateformes publicitaires qui utilisent un modèle similaire à celui de Meta (le modèle Web 2.0). Ces plateformes, bien qu’elles aussi concernées par les mêmes problèmes que Meta, s’en sortent un peu mieux.
X (anciennement Twitter)
X compte près de 500 millions d’utilisateurs actifs mensuels, un chiffre nettement inférieur à celui de Meta, mais qui est en train d’augmenter. Son audience est très engagée. La concurrence faisant grimper les coûts publicitaires est également moins forte sur X que sur Meta, car la plateforme n’est pas saturée d’annonceurs.
X propose aux marques une variété d’options publicitaires : publicités d’images, publicités vidéo, publicités en carrousel, publicités textuelles et, dans le cadre du rebranding de Twitter en X, de nouvelles offres également. Certains de ces nouveaux formats publicitaires incluent Amplify, Takeover et Live, qui sont destinés à toucher plus d’utilisateurs que les modules publicitaires standards de X, bien qu’ils soient associés à des CPM beaucoup plus élevés.
Le CPM sur X dépend des caractéristiques de la campagne, mais il est estimé à environ 6,50 $ en moyenne. Le CTR peut atteindre 2 % pour les publicités comprenant une URL, soit plus du double du taux habituel sur Meta, avec un CPM nettement moins élevé.
Le seul problème est qu’il est nécessaire d’utiliser un message concis, simple et efficace pour respecter la limite de 280 caractères imposée par X pour les publicités, un inconvénient dont les annonceurs sur Meta n’ont pas à se soucier.
Notez que X emploie des pratiques similaires lorsqu’il s’agit de collecter des données sur les utilisateurs et de proposer des espaces publicitaires ciblés. X a également fait l’objet d’amendes et poursuites judiciaires pour sa mauvaise gestion des données, et la plateforme est susceptible de faire face aux mêmes types de problèmes que Meta en matière de réglementation des données.
LinkedIn (qui appartient à Microsoft) compte environ 90 millions d’utilisateurs actifs mensuels, ce qui fait de la plateforme un réseau social relativement modeste. Mais sa base d’utilisateurs est constituée de professionnels ayant des revenus plus élevés à dépenser, ainsi que de pages destinées aux entreprises elles-mêmes. Les pages professionnelles sont adaptées à la publicité B2B, ce qui signifie que l’audience et ses attentes sont très différentes de celles de la plupart des autres plateformes publicitaires.
LinkedIn offre également aux marques de nombreux formats publicitaires différents : contenu sponsorisé, messages sponsorisés, publicités sous forme de texte, publicités dynamiques et formulaires de génération de leads. Les annonceurs constateront que le CPM sur LinkedIn est beaucoup plus élevé que celui sur les autres plateformes, celui-ci étant estimé à plus de 30 dollars en moyenne. Cette différence s’explique bien par le fait que les professionnels sur LinkedIn dépensent en moyenne deux fois plus que les utilisateurs d’autres plateformes. Les dépenses publicitaires ne semblent pas non plus si élevées si on tient compte de leur potentiel en matière de marketing B2B, qui coûte beaucoup plus cher que les publicités B2C. Le CTR sur LinkedIn varie également considérablement en fonction du secteur et du type d’annonce.
LinkedIn fournit des données de suivi et d’analyse relativement détaillées, permettant également aux marques de cibler des groupes d’utilisateurs individuels et d’analyser de quelle manière ils interagissent avec leurs publicités. Mais une fois encore, ce type de collecte de données est assujetti aux mêmes risques et aux mêmes limites réglementaires que Meta.
TikTok
Nouvel arrivant sur la scène, TikTok a rapidement su s’imposer auprès d’un public plus jeune (aujourd’hui majoritairement âgé de 13 à 30 ans). Sa base d’utilisateurs comptait environ 1,2 milliard d’utilisateurs actifs mensuels au quatrième trimestre 2021, un chiffre qui devrait atteindre 1,8 milliard en 2022. Et son format vidéo engageant rend les utilisateurs accros. Un tiers des personnes qui ont installé TikTok ouvrent l’application tous les jours et passent en moyenne 1 h 30 dessus.
Avec ses nombreux formats publicitaires, TikTok affiche un CTR moyen de 1,5 % à 16 % pour certains types de publicités à forte visibilité. Le CPM moyen sur TikTok est de 10 $, un prix moins élevé que sur la plupart des plateformes.
Parce que la plateforme est si nouvelle, TikTok est moins saturé d’annonceurs : seules les entreprises quelque peu avant-gardistes y ont recours. Ses revenus publicitaires en 2021 étaient d’environ 4 milliards de dollars, et la société compte multiplier ces revenus par quatre pour atteindre 12 milliards de dollars en 2022.
TikTok a également fait l’objet de critiques pour ses politiques agressives en matière de collecte non consentie des données, notamment la collecte d’informations telles que le contenu des messages, les données de géolocalisation précise des appareils, les listes de contacts, les calendriers et le contenu des disques de stockage (même externes). L’économie de la surveillance du Web 2.0 fait froid dans le dos, et TikTok semble pousser ce modèle de collecte de données à son paroxysme. Le gouvernement chinois détient 1 % des parts de la société mère de TikTok, ByteDance, et siège au conseil d’administration de l’une des principales filiales de ByteDance.
Meilleures alternatives respectueuses de la confidentialité aux publicités Meta
Examinons maintenant une véritable alternative respectueuse de la confidentialité et très efficace.
Brave se prête parfaitement aux publicités Web3, car son modèle publicitaire met la vie privée au premier plan et rémunère équitablement les utilisateurs pour leur participation. Avec le navigateur de confidentialité Brave, les utilisateurs peuvent choisir les types de publicités qu’ils souhaitent voir (ou s’ils souhaitent en voir tout court), et ceux qui acceptent de participer reçoivent une partie des revenus publicitaires en échange de leur attention. Et quand les utilisateurs optent pour la réception des publicités, ils reçoivent une partie des revenus publicitaires comme compensation pour leur attention. Le nouvel écosystème publicitaire révolutionnaire de Brave laisse les utilisateurs maîtres de leurs données et respecte leur vie privée, qu’ils souhaitent ou non voir des publicités. Répondant à l’appel des utilisateurs pour une plus grande autonomie en matière de données, Brave totalise près de 70 millions d’utilisateurs actifs mensuels.
Les formats publicitaires de Brave incluent :
- Annonces dans les résultats de recherche avec correspondance de mots-clés
- Images sponsorisées en pleine page dans les nouveaux onglets du navigateur
- Notifications push
- Modules d’images et de texte dans le fil d’actualité Brave
Étant donné que les utilisateurs de Brave ont pris des mesures très claires pour éviter les entreprises de la Big Tech, ils sont beaucoup plus engagés et plus susceptibles de cliquer sur les publicités qu’ils voient dans le navigateur respectueux de la vie privée Brave et dans le moteur de recherche Brave. Les notifications push, par exemple, ont un CPM de 20 $, avec un CTR exceptionnel de 8 %.
Les utilisateurs de Brave sont uniques. Ce sont des technophiles qui se soucient de leur vie privée. Ils comprennent (et utilisent) le Web3. Et il est difficile d’interagir avec eux autrement : ils utilisent des bloqueurs de publicité, regardent peu la télévision et évitent la plupart des réseaux sociaux.
Les publicités Brave offrent aux marques la possibilité de cibler les adeptes des nouvelles technologies, ces utilisateurs avertis qui sont les premiers à revendiquer un Internet respectueux de la vie privée.
La publicité en 2024 et au-delà : le temps de la diversification
Le paysage publicitaire numérique évolue rapidement et demeure en pleine mutation. Les navigateurs Web utilisent toujours différents types de cookies et les plateformes de réseaux sociaux Web 2.0 restent largement supérieures aux alternatives Web3.
Cela signifie que les annonceurs souhaitant optimiser leurs stratégies publicitaires doivent diversifier leur approche : utiliser les données disponibles sur les plateformes Web 2.0, tout en se préparant au jour où ces sources de données se tariront. Ils doivent rechercher de meilleures alternatives à Meta et Google, plus sûres et plus performantes, et commencer à diffuser des publicités sur les plateformes Web3 pour se préparer à un avenir où la protection de la vie privée sera primordiale.
À mesure que le monde continue sa transition vers le Web3, il est de plus en plus important de comprendre les préoccupations des utilisateurs en matière de protection de la vie privée, leur utilisation de bloqueurs de publicité, leur rejet des publicités et leur souhait de voir les marques agir selon leurs conditions.
Heureusement, un seul clic suffit pour cibler les audiences Web3. Rejoignez Brave Ads dès aujourd’hui pour lancer votre première campagne publicitaire qui respecte la confidentialité des utilisateurs.